
• Du salut à Jones, on a retenu l'introduction, la royale introduction: «Il était grand, comme si le destin avait voulu d'abord manifester cette grandeur par la stature. Et il semblait n'être devenu vieux que pour garder le plus longtemps possible ses chances à la jeunesse. Contemporain de trois autres pianistes aussi profondément singuliers que lui (Jimmy Jones, Jimmy Rowles, Sir Charles Thompson), on croirait qu'il avait choisi de porter ce patronyme afin de passer inaperçu.»
• De l'entrevue avec Harris, on a retenu la conclusion: «Je dirais plutôt que je suis le gardien de la musique la plus avancée et la plus moderne qui soit. Je continue de voyager à travers le monde parce que je vais avoir 80 ans, et que je ne veux pas mourir avant d'avoir transmis toutes mes connaissances. Ça m'est bien égal de savoir à qui je les enseigne. Je suis le plus vieux professeur et je suis le meilleur.» Bien vu.
• Des commentaires formulés par Louiss, victime d'une mauvaise distribution de ses albums de ce côté-ci de l'Atlantique, on vous «refile» le suivant: «Stan Getz faisait tout le temps avancer la musique. Pour moi, c'est toujours LE musicien.» Le voici, Getz, en compagnie de Kenny Barron.
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