• Deux faits devraient vous convaincre d'en faire l'acquisition: rares, très, très rares sont les «docus» consacrés au compositeur de spiritual. Et d'une. Et de deux, l'identité du cinéaste. Bien que décédé en 1997, Palmer est considéré, encore et toujours, comme un des deux ou trois meilleurs chroniqueurs des musiques dites populaires. Son Deep Blues demeure un incontournable. Un livre de référence parce qu'empreint d'un souci méticuleux pour la précision.
• Mais au-delà des deux faits évoqués, ce film vaut son pesant d'argent pour les témoignages recueillis auprès des artistes l'ayant fréquenté: Jimmy Heath, qui a connu Trane alors qu'ils étaient adolescents à Philadelphie, Tommy Flanagan, avec lequel il a enregistré Giant Steps, Wayne Shorter, Roscoe Mitchell, Rashied Ali et bien évidemment sa femme Alice. Seul bémol, McCoy Tyner et le batteur Elvin Jones, qui était toujours de ce monde au moment du tournage, ne sont pas de la partie. Certes, on les voit dans les épisodes musicaux, mais... mais c'est tout.
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